Quelbazar a lu : Le Crime du comte Neville, par Amélie Nothomb

Dernièrement, avec le cadeau de départ de mes anciens collègues, je me suis acheté une liseuse . Pour essayer. De cet engin, on reparlera plus tard. Pour l’instant, parlons un peu des lectures qui m’ont permis d’inaugurer mon achat :

Amélie Nothomb, c’est une romancière bien connue qui m’a, il y a une quinzaine d’années, donné le goût de m’écarter un peu de mes lectures de prédilections, techniques ou science-fiction. J’avais un peu de retard dans ses dernières sorties, qu’elle effectue, tel un métronome,  une fois par an. Certains pensent d’ailleurs que ses écrits réguliers ne sont plus à la hauteur de ce qu’elle nous offrait à ses débuts. Belge, fille d’ambassadeur, elle a grandi au Japon. C’est une thématique qui ressort très souvent dans ses premiers romans. Mais pas dans celui-là.

Le Crime du comte Neville, c’est donc son « roman de 2015 ». L’édition « poche » est quant à elle parue début 2017. Préfacé « Ce qui est monstrueux n est pas nécessairement indigne », l’intrigue a comme déclencheur un compte rigide et ruiné qui se voit prédire tuer quelqu’un par une voyante.

Je ne suis pas à l’aise dans la critique littéraire. J’ai cependant un avis mitigé sur ce livre : Une trame un peu redondante et « lassante » dans les écrits d’A. Nothomb, peut-être ? J’ai préféré son livre d’après, sorti en 2016. J’ai personnellement trouvé le suspens recherché par l’auteur un peu « artificiel ». D’ailleurs, si on fait confiance aux critique de lecteurs chez Amazon, on remarque que ce livre est noté en dessous de la plupart des autres du même auteur.

A lire quand-même 🙂

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