Mon expérience de vacances avec hotels.com
Les plus anciens (!…) d’entre nous se souviendront que, quand il s’agissait de planifier des vacances à l’autre bout du monde il y a quelques années, c’était vite une épreuve insurmontable…
Avant Internet, donc, il fallait tout faire par téléphone. Et trouver un hôtel, ses coordonnées, puis appeler pour réserver en baragouinant dans le meilleurs des cas en anglais ou en allemand, (quand on ne tombait pas sur des gens parlant uniquement hollandais ou portugais), c’était vite une vraie galère.
Et je ne parle pas de l’époque où il fallait trouver une adresse et un itinéraire avec un truc en papier qui s’appelait « carte routière »…. : Quand on s’imagine traverser la banlieue de Toronto sans GPS, on se dit qu’on avait bien du mérite, avant.
Mais maintenant, outre le GPS qui nous amène au pied de l’hôtel (si tout va bien…), réserver un hôtel à l’autre bout du monde est un jeu d’enfant :
Ce mois de juillet 2014, la smala de Quelbazar était en villégiature à l’autre bout du monde. Le voyage, itinérant, avait été planifié depuis mon canapé avec, pour ce qui concerne l’hébergement, l’aide précieuse d’un site de réservation d’hôtels en ligne : Hotels.com. Il en existe plusieurs, mais l’avantage de tout faire depuis un seul site, c’est de profiter de leurs offres de fidélité.
Donc c’est une quinzaine d’hôtels qui ont été réservés, annulés, re-réservés, consultés, comparés. Et tout ça avec zéro problèmes, ou quasiment.
Le retour d’expérience :
Si on recherche les hébergements typiques, intimistes et hyper familiaux, Hotels.com n’est peut-être pas la meilleure solution. Même si ce genre d’hébergements existe sur Hotels.com, c’est assez rare de tomber dessus : On y trouvera souvent des hôtels assez grands.
Au niveau des tarifs, ils offrent une « garantie de prix les plus bas ». Je n’ai pas analysé en détail en quoi ça consiste, mais les comparaisons effectuées confirment en effet que, pour un hôtel donné, les prix pratiqués sont compétitifs. A plusieurs reprises, le prix « direct à l’hôtel » aurait été plus élevé que le prix via Hotels.com.
La plupart du temps, l’annulation gratuite est possible jusqu’à 24 heures avant l’arrivée. J’ai testé ça, et ça fonctionne parfaitement. Si l’hébergement avait été débité à l’avance sur une carte de crédit (ce qui est le cas la plupart du temps), il est remboursé au maximum 3 jours après l’annulation.
Un de nos hôtels réservé bien à l’avance offrait, en « last minute », un prix promotionnel : J’ai donc annulé la réservation initiale 24 heures avant notre arrivée, pour refaire la même réservation immédiatement : Le tarif facturé a été de 20% inférieur. C’est… pratique, même si je ne suis pas certain qu’une clause obscure des conditions générales bannisse ça. Mais ça a passé !
Le site propose un système d’évaluations. Je l’ai trouvé bien représentatif de la réalité, en fait : A prix égal, un hôtel avec une note de 4.5 était bien plus sympa qu’un hôtel avec une note de 3 !
Chez Hotels.com, pour chaque nuit achetée, on obtient un point « Welcome Reward ». Après 10 points, on a une nuit gratuite. C’est intéressant.
J’ai fait appel au service client de Hotels.com à 2 reprises, via un formulaire sur leur site. Pour un des cas, c’était une erreur de l’hôtel. Pour l’autre, c’était un problème dans le décompte des Welcome rewards ». Dans les 2 cas, la réactivité du service a été bonne ! J’en suis le premier surpris, en fait.
En conclusion, j’ai trouvé ce genre de services étonnamment fiable ! Un vrai bonheur !
Hello!
Intéressant! Je constate presque tout pareil en utilisant un site concurrent: booking.com, mais à un détail près: il exsite deux catégories de réservations: celles que l'on peut annuer facilement, que tu mentionnes, mais aussi d'autres que l'on ne peut pas annuler. Parfois, les deux offres existent pour la même chambre du même hôtel, avec évidemment un surcoût pour l'offre annulable, donc il faut être vigilant !
Ensuite, dans ton exemple, tu mentionnes Toronto. J'y ai conduit un gros machin américain pendant deux jours, je trouve que c'est de loin pas la pire ville à conduire quand tu connais pas. En plus, en amérique du nord, les gens conduisent beaucoup plus soft que chez nous et sont en général plus sympas quand il s'agit de changer de file à la dernière seconde à un feux.
Dernier point, dans ton intro tu dis: "Et tout ça avec zéro problèmes, ou quasiment." Et ensuite tu ne décris aucun problème particulier. Alors, c'est quoi l'embrouille ?
Et alors, finalement, les Niagara Falls, tu a aimé? Et la tour du CN ?
A bientôt.
Greg
Je me suis laissé dire que, derrière hotels.com, booking.com ou encore expedia, c’était tous les mêmes. Je trouve ça un peu gros, mais qui sait ?… En tout cas, sur certaines de mes quittances d’hôtel, on pouvait lire « facturé à expedia.ca », alors que j’avais réservé par hotels.com 😉
Alors en effet, aussi sur hotels.com, on a souvent l’option de la version « annulation impossible », aussi, à quelques % moins cher. J’ai utilisé ça quand on était certains de pas changer notre programme, c’est à dire pour la première et la dernière nuit, plus ou moins …
Le centre de Toronto c’est e effet pas le plus difficile à conduire. C’est un peu plus délicat sur les périphs où tu as… 2 fois 8 pistes. Faut pas louper la sortie. Mais en effet, le style de conduite des autochtones est super conciliant !
Si, si, j’en parle, du « quasiment » : Une fois un hôtel m’a fait payer les taxes alors qu’elles étaient pré-payées via hotels.com. L’autre fois, c’est hotels.com que ne m’avait pas crédité de mes « Welcome rewards » (points de fidélité, en gros). Les 2 problèmes ont été réglés à mon entière satisfaction par mail. Même pas eu besoin d’empoigner le téléphone!
Concernant l’itinéraire, Je dirai que les Niagara Falls c’est un incontournable, très touristique mais très beau. Et que Toronto n’est pas la plus belle ville du monde : Pas grand chose à voir au centre pour un touriste lambda. Même la CN tower ne me laisse pas un souvenir impérissable. Sauf pour mon porte-monnaie.
Quebec, c’était Mieux 😉
Au plaisir !